Conquise et captivée dès les premières pages de cet excellent thriller !
Une histoire trépidante et jubilatoire, un rythme époustouflant qui file à 150 à l’heure, sans aucun temps mort.
L’intrigue est passionnante, basée en partie sur des faits réels et secrets menés par les autorités militaires, la CIA… des expérimentations scientifiques et psychologiques.
L’auteur est scénariste, cela se sent dans son écriture fluide et très visuelle. Les chapitres sont courts, on tourne les pages sans pouvoir s’arrêter.
Chaque page apporte son lot de questions et de rebondissements, le rythme s’accélère de plus en plus, une vraie course contre la montre pour nos deux héros. Sarah, l’inspectrice norvégienne et Christopher, le journaliste forment un tandem touchant et attachant.
Je l’ai avalé en un jour et demi mais j’ai dû faire quelques petites pauses, pour éviter l’infarctus, tant la tension était grande.
Un divertissement très intelligent et addictif.
Oh my god, quel bouquin !!! J’ai poussé un véritable CRI à la toute fin.
Nicolas Beuglet a écrit un premier livre, sous le nom de Nicolas Sker « Le premier crâne » (chez Michel Lafon)
4ème Couv.
Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l’aube d’une nuit glaciale, le corps d’un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre…
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur
le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l’hôpital semble si peu à l’aise avec l’identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, c’est le début d’une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l’île de l’Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.
Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d’un journaliste d’investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultrasecrets, pourrait bien affoler plus encore que la question !
Inspiré par des découvertes et des événements réels, Le Cri renvoie à nos peurs les plus intérieures. Un thriller sur la folie des hommes et le danger d’une science dévoyée, transformée en arme fatale.
Editeur: XO, sortie le 8 septembre 2016, 494 pages
Je le lis en ce moment, quelle histoire! Je n’aurais pas du le commencer un lundi…J’ai très peu dormi et le réveil fut dur! Je n’ai pas l’habitude de lire ce genre de thrillers mais j’avoue que c’est gai, les pages tournent sans se rendre compte que le temps passe…Addictif « tot en met » comme on dirait en Flandres ;-)!
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Bonne lecture ! Je suis sûre que tu auras envie de lire COMPLOT. Prépare toi, il est brillantissime !!!
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