9 livres lus, soit un total de 3793 pages
Ceux qui ne lisent pas ont beaucoup de mal à comprendre mon addiction incurable à la lecture.
La curiosité, l’excitation à l’idée de découvrir de nouvelles histoires, de nouveaux auteurs. Le sentiment d’évasion, la jubilation intense de vivre ces émotions fortes que nous procurent les romans.
Un incroyable voyage dont je ne me lasserai jamais, les paysages changent sans cesse.
Ce mois d’octobre a commencé fort avec Le dernier hyver de Fabrice Papillon, une lecture plus que réjouissante et un coup de maître pour un premier thriller historique. Ensuite, je suis passée à côté de Ne fais confiance à personne (et pourtant j’aime Paul Cleave), j’y ai laissé quelques neurones en route. J’ai enchaîné avec On la trouvait plutôt jolie, un Michel Bussi mineur, en demi teinte. L’ouragan Islanova des Camuhug a soufflé très fort, un livre qui déchire, un énorme coup de coeur.
Les retrouvailles tant attendues avec Fabio M. Mitchelli -le maître es serial killer- et Le tueur au miroir ont été à la hauteur de mes attentes.
Deux premiers romans, deux magnifiques découvertes que je vous invite à lire La face cachée de Ruth Malone d’Emma Flint et Les chiens de Détroit de Jérôme Loubry .
La fin du mois s’approche mais octobre me réserve encore de bien belles surprises.
Candiland de Jax Miller, je comprends mieux l’engouement pour son premier roman Les infâmes. Une énorme claque et une plume d’une force inouïe ! J’ai terminé le mois avec un premier roman étonnant et addictif L’essence du mal de Luca d’Andrea, ma chronique arrive.
Je vous souhaite à toutes et tous d’excellentes lectures… Lisez, lisez, lisez… cela rend heureux !
Voici la liste, en détails (cliquez sur les titres pour accéder directement aux chroniques)
Le dernier hyver – Fabrice Papillon
Ne fais confiance à personne – Paul Cleave
On la trouvait plutôt jolie – Michel Bussi
Islanova – Jérôme Camut et Nathalie Hug
Le tueur au miroir – Fabio M. Mitchelli
La face cachée de Ruth Malone – Emma Flint
Les chiens de Détroit – Jérôme Loubry
L’essence du mal – Luca d’Andrea (ma chronique arrive)