Un terrible polar bien barré et jubilatoire ! J’ai adoré !
Un polar déjanté, survitaminé et très original. Il se lit d’une traite. Pas le temps de souffler, ni de s’ennuyer, ça file à la vitesse grand V.
C’est violent, musclé, nerveux, sanglant, trash, le langage est cru par moment, mais si cela ne vous fait pas peur, je vous garantis que vous passerez un excellent moment de lecture.
Un suspense d’enfer qui monte en puissance jusqu’à la toute dernière page. Des personnages haut en couleurs et bien campés. Mention spéciale à Zac, un flic très solitaire, ex alcoolo, allumé sur les bords, très attachant, un samouraï du 20è siècle.
Un style très visuel, Olivier Maurel nous présente un film, les mots claquent sec et sonnent juste. A quand une adaptation cinéma ?
Une énorme surprise vers la fin et là je vous mets au défi de lâcher votre lecture, même pour une pause pipi. Un retournement de situation, un truc de malade et 50 dernières pages hallucinantes à couper le souffle. Ca décoiffe, ça décape, ça arrache fort, ça vous laisse KO !
Laissez vous emporter dans ce tourbillon jubilatoire !
Je n’ai qu’une envie, lire le premier tome des aventures de Zac Bechler « Au dessus des horizaux verticaux », publié chez Lajouanie.
4ème Couv.
Au sortir d’une soirée de beuverie, un chef de groupe de la Crim’ menant une vie pour le moins dissolue est sauvagement agressé. La police privilégie la piste d’une vengeance du milieu, puis celle des contacts bien peu fréquentables de la victime. Sans succès. L’affaire est alors, enfin, confiée à Zac Bechler, en dépit de l’aversion qu’il éprouvait pour son collègue. La première visite de notre héros le conduit dans la villa de l’ancien policier qui le reçoit, totalement immobilisé sur son lit de douleur, veillé par sa femme. Sensible au charme de l’épouse dévouée, Bechler promet de tout tenter pour trouver le coupable… et multiplie ses visites. Le malade entre deux crises de douleur lui confie que ses agresseurs rodent dans la maison dès que son épouse, médecin, est de garde à l’hôpital…
Editeur: Lajouanie, 246 pages, sortie le 9 décembre 2016
Bonjour Nadia,
D’un point de vue tout à fait personnel, « Au-dessus des horizons verticaux » m’a séduit davantage que ce Fallait pas…Ceci dit, je l’ai apprécié et j’en ai fait la chronique mais il y avait plus de « finesse » dans les horizons verticaux. Je te le recommande chaudement et je peux même te l’envoyer si tu le souhaites. (tu es belge, moi aussi, les frais de port sont moins élevés). Amitiés. Jean.
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Bonjour Jean, un tout grand merci pour ta proposition, je te contacte en MP. OK ? Amicalement.
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