Le post apo n’est pas mon genre préféré, celui ci m’a attiré, allez savoir pourquoi, peut être parce qu’il parlait de théâtre et de l’art dans nos vies. Je n’attendais rien de spécial et ce fut une magnifique surprise.
Ce n’est pas du tout un post apo classique avec des survivants qui se battent à chaque coin de rue, transformés en monstres ou zombies, avec de la violence et des bing bang bang à chaque page.
Station Eleven est un roman littéraire éblouissant dans lequel j’ai adoré plonger et me perdre.
Le monde n’existe plus, une épidémie a décimé 99% de la population.
Nous embarquons aux côtés d’une troupe de théâtre itinérante, qui voyage de villes en villages pour jouer Shakespeare auprès des survivants. Nous suivons aussi la vie d’Arthur, le comédien qui meurt sur scène en début de roman; Miranda, une de ses épouses; Kirsten, une jeune comédienne de la troupe qui se souvient vaguement de l’ancien monde.
Des vies, des récits qui se croisent et s’entremêlent, flashback et nostalgie de l’ancien monde, questionnements philosophiques: que faisons nous de nos vies ?
J’ai été émue et captivée par cette histoire en mosaïque MAGNIFIQUEMENT écrite.
Une chose est sûre, je vais retenir nom d’Emily St John Mandel !
4ème Couv.
Dans un monde où la civilisation s est effondrée suite à une pandémie foudroyante, une troupe d acteurs et de musiciens nomadise entre de petites communautés de survivants pour leur jouer du Shakespeare. Un répertoire qui en est venu à représenter l espoir et l humanité au milieu de la désolation.
Le roman évènement de la rentrée littéraire, finaliste du National Book Award aux Etats-Unis, qui fera date dans l’histoire de la littérature d’anticipation.
Editeur: Rivages, sortie le 24 août 2016, 480 pages
Un coup de cœur pour moi
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Fort touchée par cette histoire !
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